Mort

 

Tu es comme le grand aigle qui dans son envol replonge pour attraper sa proie.

Tu es sournoise comme le serpent qui longtemps te guette avant de te mordre.

Tu es cruel autant que le scorpion qui dans un combat sait toujours qu’il sortira vainqueur.

Tu es aussi douce lumière après tant de souffrance.

Tu es aussi l’espoir heureux après une longue vie.

Tu es mystérieuse et fascinante, car de tout l’univers seule cette inconnue me hante.

Je sais qu’avec toi qu’il n’y a qu’un vainqueur.

Aussi quand tu viendras me chercher, je serai comme l’agneau apeuré mais aussi résigné.

Car se sera mon heure.

 

Claude Gignac

 

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